Un week end printanier, qui malgré une météo incertaine, s’annonce réchauffé de ferventes vibrations.
:::VENDREDI:::
La fin de la semaine de travail s’annonce festive. Envie de vibrations tropicales pour me déhancher fiévreusement sur des sonorités latines remises au goût du jour par le généreux DJ Stanbul à La Tencha, je me rendrai donc à cette soirée qui s’annonce riche d’acoustiques balkaniques et colombiennes.
La suite de cette soirée sera peut-être suivie de voyages nocturnes plus fougueux, mais pour le moment, pas de programme encore bien défini.
:::SAMEDI:::
Un réveil en douceur pour ce début de journée suivi d’une balade au marché Saint Michel, pour faire le plein de mets à cuisiner pour la semaine à venir. Cette promenade sera évidemment ponctuée d’un arrêt thé-à-la-menthe pour profiter de l’ambiance du quartier et des rayons de soleil printaniers (s’ils parviennent -enfin- à pointer le bout de leur nez).
Après une petite pause repas à domicile, je partirai rive droite pour me rendre à La Chiffonne Rit, espace curieusement inspirant et convivial du côté de Cenon, pour l’après-midi Archiffonne-Rit. J’ai plutôt hâte de découvrir l’illustre Mezerg (et son PianoBoomBoom) que je suis depuis longtemps sur les réseaux mais que je n’ai encore pas eu l’occasion d’admirer en live.
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Je filerai ensuite au TNBA pour assister à la performance chorégraphiée « No Land Demain ? » (par Faizal Zeghoudi) et appréhender autrement la migration contrainte. Cette heure de pièce chorégraphique qui raconte l’histoire de la fuite de pays en guerre, jusqu’à l’arrivée aux frontières en passant par la traversée en mer de personnes à la recherche d’un futur meilleur, s’annonce poignante.
C’est avec le cœur lourd que je me rendrai dans mon lieu de prédilection, le Quartier Libre, pour finir ce samedi soir sur une note plus légère. D’ailleurs, le fameux Thomas Galvan (souvenez-vous, vous l’aviez découvert dans mon article sur le groupe de jazz Capucine) maniera la batterie du Lucky Pepper Band (Rockin’Blues) avant l’intervention du rayonnant DJ Marakatoo.
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Je rentrerai ensuite à grand coups de pédales sur ma nouvelle bicyclette afin de tester ses capacités en conditions extrêmes (nuit, pluie, ivresse…).
:::DIMANCHE:::
Une grasse matinée bien méritée et je filerai à l’exposition Street Color à l’Institut Culturel Bernard Magrez pour m’enthousiasmer devant les œuvres d’artistes de choix ! D’ailleurs, en tant qu’amatrice de street art, j’ai beaucoup entendu parler de Kashink, une Grande de cet univers qui a su se faire une place dans ce milieu essentiellement masculin grâce à son style unique.
Puis je rentrerai chez moi pour me pencher sur la rédaction de mon mémoire de recherche, et me remettre dans la dynamique de travail de la semaine à venir.